J’ai commencé à peindre au milieu des années 90. Au fil du temps, c’est devenu une vraie passion qui m’a poussé à mieux connaître l’histoire du graffiti. Je pratique toutes les disciplines, tags, throwups, lettrages old school, wildstyles, Bboys… tout en essayant de développer mon propre style. Je joue avec l’alphabet. Autodidacte, je suis diplômé de l’école où on apprend à dessiner dans le noir et à faire du bruit en silence.
Le travail de 108 est passé en 15 ans d’un graffiti traditionnel à des formes abstraites, jaunes, puis noires et enfin multicolores, qui recèlent toutes des racines organiques. L’ambiance vaporeuse et sombre qui se dégage de ses peintures transparait aussi dans sa musique, ses films et ses sculptures.
Cyril Simon, alias 2Flui, est né en 1975, et a grandi en Région Parisienne (Val d’Oise), où il vit toujours.
Lillois installé en Espagne, 3ttman remet en question la frontière entre art et artisanat par l’utilisation de différents matériaux « bruts » : peinture, béton, papier mâché, céramique et argile. Le style spontané et très coloré de ses créations s’inspire directement de l’art populaire, vernaculaire et de son observation des petites métamorphoses quotidiennes des villes.
4FAM est un collectif de 3 peintres muralistes de la région Rhône-Alpes. Notre première rencontre a lieu lors de nos études supérieures à EcohlCité.
ABYS est un jeune artiste autodidacte membre des collectifs Osmoz-Colors et Nid d'Guêpes Posse.
Issue de la culture hip-hop, ma peinture aujourd’hui garde l’empreinte des 35 années à peindre dans la rue.
Street artiste et athlète de classe international. Actuellement représenté par la galerie d'art Urbain Superposition basée à Lyon, Alexandre est désormais considéré comme un artiste émergent de la scène artistique contemporaine urbaine. Malgré son jeune âge, il a déjà peint dans 22 pays et avance dans son objectif de peindre une fresque dans chaque pays du monde."
Alex Senna, artiste brésilien, est né en 1982 à Orlândia, São Paulo. Il apporte dans son travail une réflexion monochromatique sur la vie, dans une vision de l'intérieur vers l'extérieur. Il construit un dialogue avec la ville et ses habitants à travers des interventions urbaines et l'utilisation élégante des ombres. Avec des peintures murales réparties dans plus de 25 pays, Senna partage avec les passants les sentiments les plus intimes de ses personnages. Ses œuvres sont principalement en noir et blanc, ce qui rend le message toujours simple et clair, venant directement du cœur.
Amose fait des études d’illustration et de graphisme en Belgique. Durant celles-ci, il se questionne sur ce qu’est l’art. C’est en 2003 qu’il commence à incorporer à ses œuvres un esthétique tribal qu’il a pu découvrir dans les graffitis brésiliens. Pour certains, ses œuvres sont minimalistes, pour d’autres, elles sont brillantes de réalité.
Amsted est une artiste autodidacte aixoise, née en 1982.
Autodidacte, Anthony Ferrero commence à peindre à l'âge de 13 ans et développent sa pratique du graffiti en vandale avant de privilégier un travail d'atelier où il s'appuie sur des techniques mixtes allant des pastels aux bombes aérosol.
Après trente ans de graffitis dans les friches de l'Est parisien, Olivier a fait ses valises pour Clermont-Ferrand. Cet enfant de la cité à l'incroyable énergie créatrice a signé dans sa nouvelle ville d'adoption de très nombreux tableaux de rue.
ARTMOR1 est un artiste francais né a Paris en 1983 à Paris. Il grandit dans la capitale où il évolue au milieu de métros saturés de graffs et de rues envahies de dessins colorés réalisés par des artistes tels que Jérôme Mesnager ou encore Jef Aérosol qui le marqueront à jamais. Il part ensuite vivre à Nice et réalise ses premiers graffs a partir de 1998 qu'il signe sous les pseudos de Snake et Sinsé.
Asaz_one est un artiste peintre muraliste de la région grenobloise, âgé de 25 ans, qui reste foncièrement animé par le partage culturel et les échanges aussi bien avec ses modèles en atelier ou auprès des populations locales lorsqu’il peint leurs portraits aux quatre coins du monde. Il a d’ailleurs pu s’exprimer sur des festivals au Kosovo, au Chili, dans sa ville natale au Grenoble Street Art Festival et très prochainement à Pompéi et bien d’autres projets.
Astro réalise ses premiers graffitis en 2000 dans la banlieue nord de Paris.
Illustrateur à ses heures perdues, Avyse peint sur carton un bestiaire tout droit sorti de son imaginaire et de ses inspirations urbaines. On y retrouve des personnages évoluant dans des décors à la croisée des cultures hip-hop et du manga.
Né en 1986 à St Etienne, ce graffeur autodidacte a commencé à griffonner sur ses cahiers de collège pendant les longues heures de cours. Il commence à s’intéresser aux graffiti avec l’arrivée des premiers magazines spécialisés sur ce sujet et d’internet.
Bercé par la vague hip hop, Babs découvre le graffiti à l'âge de 11 ans et peint son premier métro en 1992, support sur lequel il produira de nombreuses oeuvres de qualité.
Sur toile comme sur mur, Bault porte un art instinctif dénué d’idées préconçues, une représentation du monde unique et en constante évolution. Une dynamique que l’artiste cultive dans sa vie professionnelle : s’il commence le graffiti en 1997, il se consacre en parallèle à la vidéo jusqu’en 2011.
J'habite dans le sud , villelongue dels monts ou j'y ai mon atelier
Coin Coin est un jeune artiste entièrement voué à sa passion : le graffiti. De ses débuts peu assurés dans la discipline à ses plus grands faits d’armes sur des trains ou dans les couloirs du métro, Cool Parano retrace le parcours de ce peintre de l’ombre, oscillant sans cesse entre transe créatrice et angoisse de se faire pincer.
I’m Blank. Je suis de Vichy et je sévis sur le parcours du Such’Art à Clermont. Seule ou à plusieurs mains pour des collab fort sympathiques.
Né en banlieue parisienne, Bom.K tombe dans le graffiti à 17 ans. Sous l’influence des pionniers de l’époque, il s’initie à la grammaire du mouvement sur les murs, les terrains vagues et les trains de son quartier. En 1999, il fonde avec Iso le collectif Da Mental Vaporz et commence à produire un graffiti plus personnel et intimiste. Chambres d’isolement capitonnées, barres de bétons cauchemardesques, B.boy décharnés à la mine patibulaire...
